Ayant pu assister ce printemps à deux assemblées générales de deux villes différentes, je trouve important que chacun puisse partager son expérience pour éviter, peut-être, de répéter certaines erreur et donner des conseils à ceux qui voudraient organiser des AG sans en avoir l’expérience.
Je suggère de :
- Limiter le temps de paroles : certains peuvent prendre les AG pour des groupes de paroles personnels ou sont tellement révoltés qu’ils peuvent l’exprimer trop longtemps, au détriment des autres
- Pas d’applaudissement mais lorsqu’on est d’accord sur une idée ou une parole, secouer les mains
- Le référendum est la règle et la décision doit être suivie même si l’on est contre
J’ai rencontré un autre problème qui a fait couler beaucoup d’encre à Besançon. Un flic en civil est venu assister à une AG. Certaines personnes présentes l’ont reconnu et l’ont fait remarquer. Le flic a dit soutenir les indigner mais si, dans la cadre de son métier, on lui donnait l’ordre d’évacuer le campement, il le ferai. S’en est suivi un débat avec deux confrontation d’idée :
- Un flic, s’il est en civil est un homme comme les autres et peut assister aux AG
- Un flic reste un flic, même en civil
Une décision a été votée, elle a été remise en question trois jours plus tard par des personnes qui n’était alors pas présente. Cela a relancé le débat qui a pris quasiment toute la soirée et a franchement divisé.
Quelque soit la décision prise, je pense qu’elle ne peut être remise en question par le simple fait de personnes absentes au moment du vote, sinon le vote devrait être refait tous les jours.
Si vous avez d’autre retour d’expérience, des choses qui ont fonctionné ou non, faites le savoir.
Je suggère de :
- Limiter le temps de paroles : certains peuvent prendre les AG pour des groupes de paroles personnels ou sont tellement révoltés qu’ils peuvent l’exprimer trop longtemps, au détriment des autres
- Pas d’applaudissement mais lorsqu’on est d’accord sur une idée ou une parole, secouer les mains
- Le référendum est la règle et la décision doit être suivie même si l’on est contre
J’ai rencontré un autre problème qui a fait couler beaucoup d’encre à Besançon. Un flic en civil est venu assister à une AG. Certaines personnes présentes l’ont reconnu et l’ont fait remarquer. Le flic a dit soutenir les indigner mais si, dans la cadre de son métier, on lui donnait l’ordre d’évacuer le campement, il le ferai. S’en est suivi un débat avec deux confrontation d’idée :
- Un flic, s’il est en civil est un homme comme les autres et peut assister aux AG
- Un flic reste un flic, même en civil
Une décision a été votée, elle a été remise en question trois jours plus tard par des personnes qui n’était alors pas présente. Cela a relancé le débat qui a pris quasiment toute la soirée et a franchement divisé.
Quelque soit la décision prise, je pense qu’elle ne peut être remise en question par le simple fait de personnes absentes au moment du vote, sinon le vote devrait être refait tous les jours.
Si vous avez d’autre retour d’expérience, des choses qui ont fonctionné ou non, faites le savoir.