SYAPA et SYADE (politiquement 3)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple
SYAPA (système anti-paupérisme)
Les hommes vraiment humains ont pour devoir de faire disparaître la misère.
SYADE (système anti-désordre)
Récompenser l’amélioration de la collectivité, sanctionner les mauvais comportements.
L’Etat mieux géré (DROITE)
Grâce à la mise en œuvre du SYAPA et du SYADE, le gouvernement obtient différents effets politiques. Il paralyse durablement la DROITE en osant appliquer des mesures productives neuves qui permettent d’accroître l’activité économique du pays.
CROISSANCE
- Nouvelle croissance de la France.
DEMOCRATIQUE
- SYAPA et SYADE sont apolitiques. Selon les valeurs attribuées aux stipulations, celles-ci présenteront une couleur politique spécifique plus ou moins accentuée. Les représentants du peuple déterminent ces valeurs. Hormis quand la stipulation s’applique directement à eux. Auquel cas, c’est la population, consultée dans son ensemble, qui s’en charge.
Garantie d’un strict fonctionnement démocratique.
Les délibérations des représentants du peuple portent sur le montant des récompenses et des sanctions financières (attribution de points positifs ou négatifs). Ils prescrivent les conditions d’annulation de chaque lot des «loteries révolutionnaires». Pour les élèves: perte simultanée de certains «biens culturels» gratuits et diminution, jusqu’à disparition, de l’«argent de poche mutualisé». Durée des annulations.
COMPATIBILITE
- Le SYAPA est parfaitement compatibles avec le commerce libre. Il n’implique aucune révision, d’émanation idéologique, pouvant déstabiliser l’économie.
CONCURRENCE
- Les travaux effectués par le SYAPA n’entrent pas en concurrence avec ceux des professionnels patentés puisque, sans cette association non lucrative, ils ne se feraient pas: aucun exclu ne pouvant les payer.
ALLEGEMENT
- Si tous les habitants participent à l’éradication de la misère grâce au SYAPA, la charge supportée par chacun est forcément allégée.
PRODUITS ETRANGERS
- Les secteurs marchands, industriels, agricoles nationaux sont favorisés, sans recours au protectionnisme. Ne subissent une sanction financière que les produits étrangers sacrifiant l’environnement du globe: suicide de l’humanité.
EMBAUCHE
- Chaque exclu ayant un domicile, cela rend possible son embauche par les employeurs du secteur commercial. En fonction de sa conduite citoyenne, il obtient un meilleur logement, mieux situé. Ses connaissances professionnelles acquises grâce au «travail civique» du SYAPA et du SYADE augmentent encore ses atouts.
EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
- Pour les élèves parvenus en fin de longues études qui ne trouvent pas d’emploi, le «travail civique» du SYAPA et du SYADE permet d’acquérir une solide expérience de gestion administrative et de direction du personnel d’organisation importante. Compétences recherchées par les employeurs du secteur commercial.
DEBAUCHER POUR EMBAUCHER
- Puisque tout exclu bénéficie du «travail civique» rémunéré lui assurant une vie décente, chaque entreprise est autorisée à débaucher rapidement une partie du personnel quand les commandes manquent. En contrepartie, cela permet d’embaucher aussitôt que les affaires reprennent, dès qu’un marché se développe… En éliminant la stagnation des recrutements pour cause de défense antiéconomique du personnel, l’industrie et le commerce prennent de l’extension.
SYADE
- Le «système anti-désordre» (SYADE) consiste en une modique part d’imposition que tout habitant du pays doit payer afin d’améliorer le vivre ensemble et l’économie. Y compris les exclus.
Possibilité fiscale triple.
1 Argent (comme aujourd’hui).
2 Travail-impôt (activités uniquement consacrées à l’amélioration du vivre ensemble et de l’économie).
3 S’agissant des entreprises: produits ou services (uniquement utiles à l’amélioration du vivre ensemble et de l’économie).
- Pour l’Etat, cette modique part fiscale SYADE n’est pas un retranchement. Elle remplace ses énormes dépenses destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats. Elle remplace aussi les dépenses improductives destinées au développement scientifique, technique, industriel…
- Le SYADE ne nécessite aucun financement d’Etat. Il ne comprend aucun poste de fonctionnaire. Pas de personnel surnuméraire, pas d’emplois dus au népotisme. Toutes les tâches prennent la forme de «travail civique» équivalent d’impôt. Aucune dépense inutile: aucune voiture(s) de fonction, pas de chauffeurs salariés, pas de logements de fonction, aucun local luxueux, aucun local non indispensable, nul besoin de publicité ni de communication, aucune publication de prestige, pas de réceptions fastueuses, pas de colloques inutiles, pas de défraiements généreux…
CENTRE ANTI-DESORDRE
- Le directeur de chaque «centre anti-désordre» a seulement une obligation de résultat. S’agissant d’atteindre localement les objectifs du SYADE, sa liberté est entière.
- Chaque «centre anti- désordre» exerce son activité sur une superficie limitée. Son budget est par conséquent faible. Avec des quantités réduites, la corruption, les détournements.., sont rapidement repérables.
- Surveillance constante des «centres anti-désordre» par les contrôleurs du SYADE. Un secteur du SYADE ne peut pas être évidemment contrôlé par lui-même.
TRAVAIL CIVIQUE
- Les retraités pourvus d’une bonne éducation, conservant leurs capacités physiques et mentales, grâce au «travail civique» équivalent d’impôt, restent longtemps utiles au pays. Ils aident les jeunes à se former. Ils leur transmettent des connaissances dans bien des domaines… Pensons à ces chefs d’entreprise capables de diriger les hommes vers des objectifs enthousiasmants, à ces cadres expérimentés qui, la retraite venue, n’ont plus l’opportunité de mettre leur compétence au service de la collectivité. Pensons à ces artisans, ces ouvriers, ces techniciens, etc., qui perdent leur savoir professionnel, dont pourtant la société française a encore besoin…
LOTERIE REVOLUTIONNAIRE
- La «loterie révolutionnaire» réservée aux non-exclus est un moyen de pression permettant d’inculquer à ceux-ci la correction citoyenne.
Cette loterie particulière est financée par une fraction de l’impôt SYAPA et SYADE que versent les non-exclus et les entreprises.
Chaque lot de la «loterie civique NE» relève du hasard.
En cas d’annulation d’attribution du gros lot de la «loterie civique NE», celui-ci est accordé à un autre non-exclu tiré au sort. Et ainsi de suite, si nécessaire.
Le contrôle de la bonne citoyenneté des gagnants prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt du SYADE.
Chaque «gagnant» ayant un mauvais comportement est averti de sa «déveine»: simple didactisme.
- Dans la panoplie des pénalités du SYAPA et du SYADE, l’annulation, pendant une période donnée, de l’attribution d’éventuels lots des 3 «loteries révolutionnaires», bien que financièrement indolore – elle ne retire aucun argent au perturbateur –est pourtant efficace.
ARGENT DE POCHE REVOLUTIONNAIRE
- L’«Argent de poche révolutionnaire» est moyen de pression permettant d’inculquer aux élèves la discipline scolaire.
Au moyen de sondages, on calcule le montant moyen que les parents donnent régulièrement à leurs enfants sous forme d’argent de poche. Fiscalement, on retire cette somme aux contribuables, somme à laquelle s’ajoute un surcroît en prévision des enfants d’exclus. Après quoi, la distribution égale de l’argent de poche à l’ensemble des élèves se fait par l’entremise de l’Administration, comme une allocation.
Afin que tous les professeurs aient de l’autorité, il leur faut des moyens de pression sur les élèves d’aujourd’hui. S’ajoutant à l’annulation de chaque lot des «loteries révolutionnaires», la sanction pécuniaire réduit ou supprime «l’argent de poche mutualisé». A chaque récidive, le professeur inscrit de nouveaux points négatifs, de sorte que la sanction pécuniaire, pour l’élève récalcitrant, augmente.
Observons que la suppression de «l’argent de poche mutualisé» d’un jeune exclu ne le prive en rien, lui et sa famille ayant toujours de quoi vivre décemment, grâce aux fournitures indispensables du SYAPA. Avec seulement l’assistance en nature, l’exclu n’a pas besoin d’argent pour subsister. Mais qui le refuse?
BIENS CULTURELS
- Accompagnant l’«argent de poche mutualisé», toujours pour encourager la bonne conduite, les élèves non réprimandés bénéficient de «biens culturels».
Financement des «biens culturels»: pour payer l’impôt SYAPA et l’impôt SYADE, certaines entreprises peuvent fournir une fraction de leur production aux élèves, enfants d’exclus ou non. Exemple: livres, disques, jeux, places de spectacle…
ECONOMIES
- Plus besoin d’augmenter le nombre de surveillants: économies pour l’Etat.
Les enseignants cessent d’être tourmentés par les élèves insupportables. La violence se dissipe. Les temps d’indisponibilité pour raison médicale se tarissent: autres économies pour l’Etat.
INSTRUCTION CIVIQUE
- Les multiples stipulations du SYADE guident l’individu dans le sens du vivre ensemble. Les respecter, c’est être un bon citoyen.
Nombre de ces stipulations sont vite apprises quand en dépend une récompense ou une sanction financière.
Selon l’âge des élèves, le professeur pourra commenter les stipulations de son choix, concrétisant ainsi certains aspects théoriques de l’instruction civique.
Diverses stipulations, malaisément applicables (peu importe!), ont avant tout pour vocation d’éduquer les jeunes. Mais aussi les adultes.
- Puisque les stipulations du SYADE (comparables à une matérialisation de l’instruction civique) font diminuer les actes répréhensibles, dont les séquelles sont toujours payées par la collectivité, cela entraîne beaucoup d’économies pour l’Etat.
LOCATION GENERALISEE
- Avec l’incitation à la «location généralisée» de beaucoup de produits manufacturés, l’Etat renouvelle l’industrie. Les loueurs, grâce à des grandes quantités de commandes groupées, obligent les fabricants à concevoir des produits de haute qualité: durables, réparables à faible coût, pouvant s’adapter aux innovations.
Qui dit «produits de haute qualité» dit entreprises françaises devenant concurrentielles (le salaire bas n’est plus essentiel dans le prix de fabrication d’un objet cher).
Qui dit «réparable et pouvant s’adapter aux innovations» dit quantité importante d’emplois impossibles à délocaliser.
Avisées discrètement, avant l’application de cette mesure neuve, les entreprises françaises prennent un avantage industriel et commercial important sur la concurrence étrangère. Exemples d’appareils: réfrigérateurs, lave-linge, lave-vaisselle, aspirateurs, micro-ondes, cuisinières, climatiseurs, véhicules…
- L’incitation à la «location généralisée» prend la forme de dispositions contenues dans certaines stipulations du SYADE: récompenses ou sanctions financières.
STIMULATION SCIENTIFIQUE
- Les entreprises ont constamment besoin d’innover afin de ne pas être supplantées par la concurrence.
Le SYADE comprend nombre de stipulations qui encouragent les entreprises dans ce sens. Mais aussi les élèves, les personnes capables…
Stimulation scientifique, technique, industrielle, commerciale.., que l’Etat déclenche sans la payer. Elle entraîne des rentrées et des économies qui consolident la France.
Nos entreprises sont davantage performantes, compétitives. Elles s’agrandissent et recrutent. Moins d’indemnités chômage à distribuer. L’Etat augmente ses rentrées.
SURTAXE DISSUASIVE
- Seuls les pauvres trouvent un intérêt à solliciter l’aide du SYAPA. Aussitôt l’aide obtenue (n’importe laquelle), la personne solliciteuse est soumise à une surtaxe dissuasive.
Pour l’exclu, qui ne verse aucun ou peu d’impôt sur le revenu, cette surtaxe est inexistante.
Par contre, pour la personne qui paye un impôt découlant de revenus convenables, cette surtaxe s’avère très lourde et désavantageuse.
L’application ainsi conçue de cette surtaxe vise l’efficacité: formulaire simplifié. On évite les pertes de temps et d’argent.
CENTRE ANTI-MISERE
- Chaque «centre anti-misère» exerce son activité sur une superficie limitée. Son budget est par conséquent faible. Avec des quantités réduites, la corruption, les détournements.., sont rapidement repérables.
- Surveillance constante des «centres anti-misère» par les contrôleurs du SYADE.
ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
- L’enseignement professionnel des exclus est pratiqué par des gens de métier (à la retraite, en activité, au chômage) sous la forme de «travail civique» équivalent d’impôt.
Cet enseignement peut se faire en groupe ou par cours particuliers, pour les apprentis incultes. Une telle formation sur le tas concerne de nombreux métiers: maçonnerie, électricité, plomberie, peinture, menuiserie, cuisine, comptabilité, secrétariat, mécanique auto, etc.
Les connaissances professionnelles acquises grâce au travail civique du SYAPA et celles additionnelles acquises grâce au SYADE augmentent les possibilités d’embauche de l’exclu dans le secteur commercial.
L’Etat ne paye pas l’enseignement professionnel destiné aux exclus: beaucoup d’économies.
L’enseignement professionnel des non-exclus (pour tous) est financé exclusivement par les secteurs industriels qui déterminent le cursus des apprentissages en fonction de leurs besoins. Former des travailleurs spécialisés est de leur ressort exclusif. Autres économies pour l’Etat.
SURPLUS AGRICOLES
- Actuellement les surplus agricoles vont à la décharge ou ne sont pas ramassés. Avec le SYAPA, ils deviennent un équivalent d’impôt.
Quand c’est possible, leur collecte est faite directement par des individus participant au SYAPA.
Outre l’enlèvement des produits en surplus, au calibrage exigé par la distribution, sont récoltés les fruits et légumes jugés invendables, pourtant en bon état: trop petits, trop gros, pas jolis, non présentables…
Les exclus nourris correctement évitent nombre de problème médicaux: économies pour l’Etat.
L’Etat ne paye rien.
Le nombre des emplois peu rentables pour les entreprises, dont la faible rémunération se verrait compensée par l’aide du SYAPA, pourrait augmenter dans l’agriculture. La France devient alors compétitive.
ECHANGE DE LOGEMENTS
- Un organisme d’Etat spécialisé favorise l’échange de logements. Le coût de cet organisme est compensé par l’augmentation des emplois occupés. Emplois qui, sans cela, resteraient vacants.
Par ailleurs, les travailleurs, perdant moins d’heures dans les déplacements, sont plus performants au travail.
Le propriétaire qui ne trouve pas immédiatement un autre logement à échanger, dans le cadre d’un remplacement prévisible et raisonnable, obtient un prêt momentané, convenable, adapté. Une communauté humaine bien gérée doit éliminer au maximum les causes de chômage.
EMPLOI POUR TOUS
- Stricto sensu, avec le SYAPA, le chômage (absence d’activité professionnelle rémunérée) disparaît. Tous les habitants de la France ont un gagne-pain. Il y a ceux qui travaillent dans les secteurs commerciaux, et ceux qui se forment en attendant de rejoindre les premiers.
- Les agences publiques pour demandeurs d’emploi ferment. Elles sont remplacées par des organismes privés financés par l’ensemble des entreprises du secteur commercial. Celles-ci ayant à embaucher, trouver du personnel est de leur ressort exclusif. Elles ont besoin d’un service compétitif que ne peuvent fournir les structures fonctionnarisées. Beaucoup d’économies pour l’Etat.
POLICE ET JUSTICE
- Le rôle des policiers, des juges, est toujours actif. Dès la première incartade et à chaque récidive, les multiples sanctions financières s’appliquent.
La majorité des individus, y compris les jeunes, y compris les enfants, craignant de laisser échapper les lots des «loteries révolutionnaires», surtout le gros lot, surveillent constamment leur conduite, de façon à ne pas enfreindre les stipulations du SYADE.
Dissuasion à laquelle s’ajoute, pour les élèves: perte simultanée de certains «biens culturels» gratuits et diminution ou suppression de l’«argent de poche mutualisé».
Les conséquences des actes délinquants sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.
SANCTIONS FINANCIERES
- La sanction financière inscrite dans une stipulation du SYADE ne se compare pas à une amende. Il s’agit d’une somme payée périodiquement (ou d’une absence d’allocation), qui se prolonge tant que le fautif n’arrête pas son mauvais comportement.
Cette méthode dissuasive comprend aussi l’annulation de chaque lot des «loteries révolutionnaires». Pour les élèves: perte simultanée de certains «biens culturels» gratuits et diminution, jusqu’à disparition, de l’«argent de poche mutualisé».
Exemples: récidiviste, malade mental qui refuse de se soigner, malade contagieux qui interrompt son traitement, individu qui gêne l’entourage, entreprise qui pollue, etc.
L’Etat raccourcit ainsi la durée de chaque insociabilité tout en faisant beaucoup d’économies
«SCOUTISME LAÏQUE»
- A partir du moment où les jeunes perçoivent très tôt des avantages pécuniaires (lots des loteries révolutionnaires, récompenses et compléments financiers, «argent de poche mutualisé», «biens culturels»), ils s’acquittent très tôt d’une imposition.
Le SYADE, en association avec le SYAPA, propose à tous les jeunes un «travail civique». Si le jeune ne l’accomplit pas (c’est sa contribution fiscale), il ne perçoit aucun avantage pécuniaire.
- Le «travail civique» pour les jeunes est une sorte de scoutisme laïque. On leur apprend nombre de notions nécessaires à la vie du bon citoyen: cours de rattrapage scolaire pour les enfants d’exclus, instruction civique par le biais de certaines stipulations du SYADE, histoire, géographie, démocratie, régime républicain, laïcité, faits religieux (monothéisme, polythéisme, animisme, chamanisme…), etc. On leur apprend les rudiments de différentes professions. On les prépare à une existence indépendante: comment coudre et raccommoder (2 sexes), repasser le linge, cuisiner, faire du bricolage domestique, entretenir et réparer un véhicule, jardiner, etc.
- La jeunesse dès lors «occupée» a moins de temps pour s’approprier les halls d’immeuble, traîner dans les rues, faire des «bêtises»…
- Le seuil de l’âge du «travail civique» des jeunes est déterminé par les représentants du peuple.
Les conséquences de l’insociabilité sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.
ECONOMIES
- Suppression d’une grande part des indemnités chômage: beaucoup d’économies pour l’Etat.
- Aucune allocation versée aux personnes qui ne sont pas dans le besoin: encore d’autres économies pour l’Etat.
- Sauf si cela nuit à la sécurité du pays, l’Etat ne renfloue plus les entreprises non rentables, abusivement médiatisées: beaucoup d’économies.
- Suppression du RSA et autres allocations destinées actuellement aux exclus: beaucoup d’économies pour l’Etat.
- Plus d’allocations logement à verser: beaucoup d’économies pour l’Etat.
- Consécutivement à l’élimination de la stagnation des recrutements pour cause de défense antiéconomique du personnel, l’industrie et le commerce prennent de l’extension.
- Développement des emplois sans qualification devenant «vivables» grâce à l’appoint des aides fournies par le SYAPA. Certains secteurs de l’industrie, du commerce, de l’agriculture, ne sont plus obligés de délocaliser ou de déposer le bilan.
- Le nombre des emplois peu rentables pour les entreprises, dont la faible rémunération se verrait compensée par l’aide du SYAPA, pourrait augmenter: travaux agricoles, travaux de manœuvres, coup de main aux clients, présence sécurisante…
- La France devient alors compétitive internationalement. Les délocalisations cessent. On relocalise.
- Davantage d’entreprises payent l’impôt. L’Etat augmente ses rentrées.
- Le déficit de la France avec l’étranger diminue. Perspective d’une balance commerciale équilibrée.
(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)
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Dernière édition par Tiersi le Sam 20 Avr - 8:41, édité 1 fois