Economie révolutionnaire

L’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA est humainement juste. Seule, la personne cupide en contestera le principe.

L’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA est moralement juste. Seule, la personne méprisable en contestera l’application.

L’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA est moralement juste. Seule, la personne cupide en contestera l’application.

La personnalité politique qui met en œuvre le programme révolutionnaire du SYAPA obtient une popularité considérable.

L’organisme politique qui met en œuvre le programme révolutionnaire du SYAPA obtient une popularité considérable.

L’Etat qui applique en premier le programme révolutionnaire du SYAPA acquiert une avance économique sur tous les pays du monde.

Par le travail-impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA, l’exclu apprend ou réapprend à gérer son temps, en accomplissant une activité d’ordre professionnel.

L’accomplissement du travail-impôt révolutionnaire anti-pauvreté SYAPA apporte à l’allocataire une légitime fierté.

Quel que soit son statut social, aider les plus faibles est chevaleresque. Le programme révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA sert l’humanité.

Tout le monde participe à l’effort national. En versant sa part fiscale révolutionnaire du SYAPA sous forme d’heures de travail anti-pauvreté, l’ex-exclu devient davantage responsable politiquement.

Chaque entreprise paie la part d’impôt révolutionnaire anti-pauvreté SYAPA.

La part d’impôt révolutionnaire SYAPA étant multiforme, l’entreprise peut remplacer l’argent par des heures de travail spécialisé. A condition que l’expertise du personnel soit adaptée aux besoins de l’action anti-pauvreté.

Les heures de travail-impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA que fait le non-exclu ne fusionnent pas avec celles de son entreprise.

La part d’impôt révolutionnaire du SYAPA étant multiforme, l’entreprise peut remplacer l’argent par des produits. A condition qu’ils soient nécessaires aux besoins de l’action anti-pauvreté.

La part d’impôt révolutionnaire SYAPA de l’entreprise augmente si sa direction ne respecte pas les règles essentielles du vivre ensemble.

Les subventions des administrations accordées aux entrepreneurs sont remplacées par diverses récompenses financières du SYAPA, économisant beaucoup de dépenses bureaucratiques.

L’éditeur trouve son intérêt à «payer» sa part d’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA, ou une partie, en donnant certains livres qui autrement seraient mis au pilon.

Certains de ces livres non détruits deviennent des biens culturels du SYAPA, attribués aux élèves méritants.

Avec le SYAPA, la plupart des surplus agricoles, d’ordinaire gâchés, conservent une valeur monnayable. Pour l’entreprise agricole, ils sont comptabilisés en tant qu’impôt anti-pauvreté.

Avec le SYAPA, les travaux d’intérêt général, qui constituent un scandale économique, se font désormais au profit unique des exclus.

Même sans effectuer son travail anti-pauvreté du SYAPA, l’exclu bénéficie de l’ensemble des biens indispensables pour vivre: nourriture, logement, chauffage, etc.

L’exclu reçoit la rémunération du travail révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA s’il effectue cette activité civique.

Toute personne en France s’acquitte de l’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA.

Aussitôt l’aide du SYAPA obtenue (n’importe laquelle), la personne solliciteuse est soumise à une surtaxe dissuasive qui entre dans le budget anti-pauvreté.

Pour l’exclu qui ne verse aucun impôt sur le revenu, la surtaxe du SYAPA est nulle.

Pour la personne qui paye l’impôt sur le revenu, la surtaxe consécutive à l’utilisation d’une aide du SYAPA est très lourde. Elle croît avec l’importance de l’impôt du contribuable aisé.

La surtaxe révolutionnaire du SYAPA (consécutive à l’utilisation d’une aide anti-pauvreté) est économique.