Economie révolutionnaire

Principe du programme révolutionnaire SYAPA: équivalence entre verser de l’argent, donner un bien, faire un travail.

La part d’impôt anti-pauvreté du SYAPA est multiforme.

1) Impôt anti-pauvreté du SYAPA, payé d’une façon normale.

2) Travail anti-pauvreté du SYAPA, qui permet de faire fonctionner cette protection sociale sans verser une rémunération à des fonctionnaires.

3) Des biens (uniquement utiles aux exclus) sont «donnés» par certaines entreprises à la place de l’argent, dans le cadre révolutionnaire du SYAPA.

Chaque contribuable a le choix pour verser sa part d’impôt anti-pauvreté SYAPA. Il peut verser de l’argent.

Les versements de l’impôt anti-pauvreté SYAPA sous forme d’argent servent à la rémunération du travail civique que font les exclus.

La part d’impôt révolutionnaire SYAPA étant multiforme, le contribuable pauvre remplace l’argent par des heures de travail anti-pauvreté. Travail ayant uniquement cette finalité.

Pour bénéficier de la réactualisation annuelle qui efface certaines pénalités du SYAPA, il faut effectuer le travail anti-pauvreté sans interruption. Même si, compte tenu des pénalités, la rémunération s’avère modique.

Tout le monde participe à l’effort national. En versant sa part fiscale sous forme d’heures de travail anti-pauvreté SYAPA, l’ex-exclu devient davantage responsable politiquement.

Certains contribuables solvables peuvent remplacer leur part d’impôt SYAPA (totalité ou une fraction) par des heures de travail anti-pauvreté. Travail uniquement utile aux exclus.

La part d’impôt révolutionnaire du SYAPA étant multiforme, le contribuable non pauvre peut remplacer l’argent par des heures de travail anti-pauvreté. A condition que son savoir-faire s’adapte aux besoins de l’action anti- pauvreté.

Dans le cadre révolutionnaire du SYAPA, certaines entreprises peuvent remplacer leur part d’impôt anti-pauvreté (totalité ou une fraction) par des biens. Biens uniquement utiles aux exclus.

Dans le cadre révolutionnaire du SYAPA, il devient possible de proposer immédiatement à tous les exclus une activité rémunérée (travail exclusivement destiné à lutter contre la pauvreté).

Par rapport à la fiscalité du pays, l’impôt anti-pauvreté SYAPA bénéficie d’une indépendance complète.

S’ajoute au financement du SYAPA, la récupération de certains budgets qui actuellement remplissent leur mission de façon lacunaire: centres d’hébergement pour SDF, dépenses en nuitées d’hôtel, etc.

Avec le SYAPA, l’Etat se décharge des lourdes machines bureaucratiques qui ne remplissent pas complètement leur mission d’assistance.

Avec le SYAPA: diminution de l’actuel montant fiscal correspondant aux opérations payées par l’Etat pour lutter contre la pauvreté. Sinon les deux prélèvements doublonneraient.

Le montant de l’économie permise par la suppression des secteurs administratifs qui s’avèrent inefficaces pour lutter totalement contre l’indigence est affecté au SYAPA.

Financement supplémentaire du SYAPA. Pour le non-exclu, sa part d’impôt anti-pauvreté augmente s’il ne respecte pas les règles essentielles du vivre ensemble.

Nombre d’amendes sont remplacées par diverses sanctions financières du SYAPA, économisant beaucoup de dépenses administratives.

Grâce au remplacement de certaines amendes de l’administration par différentes sanctions financières du SYAPA, chaque citoyen paye moins d’impôt anti-pauvreté.

S’agissant des riches, cet impôt innovant rapporte davantage puisque chaque sanction financière du SYAPA est proportionnelle aux revenus du fautif.

L’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA étant juste, nul ne peut nier sa nécessité.

L’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA est humainement juste. Seule, la personne méprisable en contestera le principe.

L’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA est humainement juste. Seule, la personne cupide en contestera le principe.

L’impôt révolutionnaire anti-pauvreté du SYAPA est moralement juste. Seule, la personne méprisable en contestera l’application.